Evannah Gabrielle Fenwick

« Je suis le maître de mon destin, capitaine de mon âme » ;

(c) Harry Potter And The Deathly Hallows Part 2

Etant donné que j'ai bien lu le règlement, j'accepte de vous donner le code de celui-ci qui est : Un seul détail peut changer le cours de toute une vie

Evannah est une demoiselle qui n’a besoin de personne pour évoluer mais qui aime avoir son peuple avec elle. Elle est très riche et toujours avec des choses neuves, elle adore tout ce qui est beau. Elle peut si elle le veut être votre pire cauchemar, mais ce n’est absolument pas son but, elle sait ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut pas. Très rusée et plus maline qu’on le pense, elle sait manipuler son monde, et aime beaucoup ça. A part le fait qu’elle n’est pas contre les né-moldus, elle rassemble quasiment toutes les caractéristiques du Serpentard.

Malgré tous ses grands airs et sa grande suretée, Ev’ est une demoiselle plutôt très sensible qui depuis toute petite prend beaucoup trop de poids sur ses épaules, le poids de ses parents qui est bien trop lourd et dont elle a parlé à personne jusqu’à maintenant. Même si elle les admire de plusieurs manières, elle a peur de devenir comme eux, de toute façon pour elle c’est très clair, elle est son propre chef. Elle cache beaucoup de choses en elle, c’est un véritable jardin de fleur à elle seule, tout comme un véritable feu d’artifice. Les garçons, elle en joue, mais elle n’est pas du tout insensible au grand amour.

Elle est aussi plutôt douée pour les cours, et dans tout ce qu’elle entreprend, pleine de courage, elle fonce souvent, et elle n’a absolument pas de problème quand il faut contourner les règles, même si elle doit les faire respecter.


Donc voilà, tout ça, c'est moi :
Age : 17 ans
Don spécial : Occlument
Baguette Magique : Bois de rose, crin de licorne, 27,4 cm.
Patronus : Cigne
Epouvantard : Une pièce fermée et sombre.
Miroir de Risèd : Son père et sa mère.
Groupe souhaité : Serpentard
Statut de sang : Sang Pur
Maison : Serpentard
Situation amoureuse : Compliqué

(c) Harry Potter And The Deathly Hallows Part 2

• Tout le monde a un passé, un présent & un futur.;
It's my story

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(c) Harry Potter And The Deathly Hallows Part 2

Je suis née un 26 juin, il faisait magnifique ce jour là, le jour le plus beau pour venir au monde, un jour qui promettait un merveilleux avenir. Je suis sortie du ventre de ma mère à 2h57 du matin, dès ma naissance j’en ai fait qu’à ma tête et j’arrivais déjà à ce que tout le monde me regarde. J’ai fait mon premier cri et quand ma mère ma prise dans ses bras, elle s’est mise à pleurer comme jamais elle l’avait fait. Comment je sais tout cela ? Je ne m’en rappel pas, loin de là, mais c’est ce que ma tante m'a toujours dit. Je n’ai jamais connu mes parents, mon père est mort avant même d’arriver à Azkaban pour faute contre le gouvernement, et oui, mon père était un mangemort, ma mère aussi, seulement, elle, elle est morte deux heures après ma naissance, un problème qui n’a pas été diagnostiqué assez rapidement.

Bref, je pense que vous avez compris, depuis ma naissance je vis avec mon oncle et ma tante, elle était la sœur de ma mère, deux grandes héritières d’une longue lignée de sang pur, tandis que mon oncle est un sang-mêlé de par son arrière-arrière grand-père qui était un né-moldu. Je vous le dis tout de suite, je n’ai rien contre les moldus, ni les né-moldus, s’ils sont dotés de magie, je pense qu'il y a une raison. Mais chacun sa façon de penser. J’ai grandi dans le luxe le plus total, ma tante incapable de faire un enfant, j’ai été en quelque sorte leur fille unique. Bizarrement, ma tante n’avait pas suivi les idéaux de mes parents et pourtant, elle leur vouait un culte, il faut croire qu’elle a fait le bon choix vu qu’elle, elle est toujours en vie. Ils m’ont réellement aimé comme leur fille, et moi comme s’ils étaient mes parents.

J’ai donc grandi dans la magie, elle m’a toujours entouré, c’était une chose normale pour moi. Ma tante me lisait les contes de Beedle le Barbe à la place de Blanche neige, et je jouais au Quidditch à la place du foot. Depuis toute petite j’ai l’habitude de facilement mettre les gens de mon côté, c’est fou, à chaque fois que je souris ou que je demande, on est d’accord avec moi, j’ai toujours eu ainsi ce que je voulais, en feignant de pleurer ou avec pleins d’autres astuces…

J’étais particulièrement proche de ma tante, qui pour me protéger m’a très rapidement appris l’art de l’occlumentie, ne voulant pas qu’il m’arrive un malheur, ni que l’on apprenne la vérité sur mes parents ou sur tout autre chose. Ma vie a toujours été à moi, et personne d’autre n’a le droit de la découvrir si je n’en donne pas l’autorisation. J’avais mon caractère mais c’est aussi grâce à cela que j’ai réussi à vivre sans mes véritables parents, en entendant pourtant assez souvent : « C’est fou comme tu ressembles à ta mère ». De toute façon, j’avais mon oncle et ma tante qui était tout comme mes parents mais que je ne les aurais jamais appelé de la sorte. Princesse chez moi, princesse dans la rue et dans bien d’autres endroits, je n’étais que très rarement détestée et quand je l’étais c’est qu’on me jalousait. Je prenais ma vie en main, j’étais de toute façon maître de mon destin.




Le jour de mes onze ans, je reçu la fameuse lettre, je l’attendais depuis si longtemps, j’allais pouvoir étendre mon royaume, j’étais la reine de mon monde, et Poudlard allait m’accueillir, ce serait mon château. Comme tout petit sorcier qui se respect, je suis allée avec ma tante sur le chemin de traverse. Des robes de sorciers sur mesure, ma baguette qui me suit toujours, bois de rose, crin de licorne, 27,4 cm, je me rappel toujours de la puissance que j’ai ressenti lorsque le vieux marchand de baguette me l’a posé dans la main. Après tous les achats des chaudrons neufs et de tous les livres, plumes et parchemins, ma tante m’a prise par la main, et m’a amené à la ménagerie. Elle voulait m’acheter un hiboux que je pris sans rien dire : Flop, mais moi je voulais un petit chat qu’elle ne pu me refuser, c’est ainsi que je suis repartie de la ménagerie avec mon Flop noir tacheté de blanc et Shazaam mon chat tout blanc avec le bout des oreilles et des pattes noires.

Le jour de ma rentrée fut plutôt majestueux. Dans le train, je m’étais déjà fais pas mal de connaissances, et quand nous sommes arrivés sur le lac, avec devant nous le château qui de toute sa splendeur surplombé une falaise immense, aucun élève ne put s’empêcher de faire un signe d’admiration. Un spectacle donné qu’une seule fois dans toute votre vie. Tous en file devant un vieux tabouret pour qu’un chapeau tout rapiécé nous dise dans quelle maison nous serions le mieux, le stress était à son comble. Moi je m’en moquais, je savais dans quelle maison j’irai, celle de ma famille, la maison des puissants et des ambitieux, la maison de Salazar Serpentard. La directrice n’eut même pas besoin de poser le bout de tissu sur ma tête qu’il m’envoya directement dans MA maison. Comme pour tous les élèves, la table des verts se leva et un tonnerre d’applaudissement jaillit dans la pièce. Tout sourire, je m’avançais vers ma maison, tout en jetant un œil au choixpeau qui grimaçait dans son coin, je savais qu’il avait lu, qu’il savait mais qu’il ne dirait rien. Dans la pièce, je n’étais pas la seule fille de mangemort et ce loin de là… Mais lui il avait vu qui était mes parents, ils n’avaient pas été de simple mangemort travaillant derrière le Lord, ils avaient été le couple de Mangemort le plus connus, même si on ne disait jamais leurs noms, ils étaient bien plus féroce que les Lestrange (et pourtant il fallait le faire ) qui léchaient les bottes de leur maître. Mes parents agissaient réellement, ils avaient tué un nombre inimaginable de sorcier, ils avaient été la protection du Lord durant des années, ils étaient partis étendre le pouvoir de celui-ci dans le monde entier, ils étaient les HellBlood, seulement, j’avais le nom de mon oncle pour que rien ne se sache…

Aujourd’hui, je sus en septième année, j’ai plutôt bien grandit, toujours reine de mon domaine. Je ne suis pas du genre à traumatiser les petits nouveaux et je ne joue pas non plus au jeu des rivalités, je trouve ça vraiment bas. J’avais peut être des parents sous la coupe de la tête de mort, mais ce n’est pas pour cela que je partage leurs idées, si je dois me battre, ce ne sera pas contre des gens, mais pour mon propre chef ou pour des gens qui compte réellement et j’ai réalisé que dans le château, des gens qui comptent, existent belle et bien… Cette année, pour ma dernière année, je suis devenue Préfète en Chef pour suivre mes rangs de préfète, et suivant mon humeur, vous pouvez toujours avoir peur de vos punitions…